Chaque jour, on vit et on survit dans une société qui saigne à cause de la crise mondiale. Le climat devient de plus en plus obscure et les citoyennes, ayant poussé au désespoir, ont commencé de chercher la vérité et douter des structures sociales et politiques. Mais les « patrons » du réseau capitaliste international essayent de limiter les dégrées de liberté de la société en utilisant des tactiques du caractère arbitraire et des politiques autoritaires.
L’espace du journalisme grec avait reçu des attaques de ce caractère autoritaire. Spécifiquement, pendant le dernier mois des phénomènes de censure, qui déclarent l’intention de l’état de frapper l’origine de démocratie, la liberté de parole, ont eu lieu.
Le premier incident de censure a eu lieu à NET- qui est une chaîne publique grecque. Les deux présentateurs d’émission du matin informatique ont été relevés de leur poste à cause des commentaires suggestifs concernant le ministre de la Protection de Citoyen, Dendias. La cause de cet incident était leur référence aux plaintes du mauvais traitement des 15 personnes arrêtées pendant la manifestation antifasciste le 30 septembre. Le ministre lui-même eut rejeté ces plaintes comme infondées, jusqu’à ce qu’il a été réfuté par les résultats médico-légales. NET (la chaîne publique) n’a pas donné de justification considérable sûr l’arrêt de l’émission. La seule déclaration de la part du directeur général de NET était que les deux journalistes n’ont pas respecté les règles de déontologie journaliste et qu’ils ont fait des allusions inacceptables contre le ministre de protection de citoyen. Le monde journalistique a réagi très forte à cette décision et leurs syndicats ont fait des protestations devant les bâtiments de la chaîne télévision publique.
Ajoutons qu’après les mobilisations et l’empleur qui a pris le licenciement des deux journalistes, ils ont été réembauchés et continuent leur émission à partir de mercredi 14 novembre.
Le deuxième et plus résonant incident de faire taire de la liberté et du pluralisme de la presse et des médias, concerne le cas de la publication de la « liste de Lagard ». Kostas Vaxevanis, journaliste et éditeur du journal « HOT-DOC », a publié cette liste, qui a contenu 2500 noms de déposants grecs qui sont transférés leurs dépôts aux autres banques à l’étranger pour éluder l’impôt. Immédiatement après la publication de la liste, K. Vaxevanis a été arrêté par mandat du procureur, étant accusé de violation des donnés personnelles. Tout cela a attiré l’intérêt de la presse européenne et finalement K. Vaxevanis a été acquitté.
Un autre incident similaire qui a attiré de publicité minimale, concerne la censure d’une transmission en direct à la chaîne publique ERT. La cause de l’interruption brusque de cette émission était la référence du côté d’un journaliste aux protestations des résidents de Thessalonique contre le premier ministre. Il eut commandé de la présence policière augmentée pendant la célébration du saint patron de la ville. Aucune prétexte n’a été offerte pour cette émission du côté de l’administration de la chaîne publique.
Ces incidents récents et beaucoup d’autres qui vont rester inconnus démontrent la détermination de l’état d’oppresser toutes les voix qui s’opposent « la réalité approuvée par l’état». La presse, électronique et imprimé, est une arme efficace et très forte dont la manipulation par l’état peut conclure au contrôle social absolu.
La seule réaction à l’obscurantisme de la censure qui nous approche est l’auto-organisation et la solidarité.
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